mercredi 10 décembre 2008

Le Grand Robert

On peut essayer le Grand Robert ! Il a vraiment tout. Plus que ARTFL, plus que Internaute, plus que tout autre dico. On peut l'acheter, aussi, mais cela coute à peu près 200 euros.

Quelqu'un veut me l'offrir comme cadeau ? Ouiiiii?

mardi 9 décembre 2008

Qu'est-ce que l'humanisme? - XVIe siècle

Qu’est-ce que l’humanisme ? D’où vient ce terme et comment se manifeste-t-il dans la Renaissance française ?

L'humanisme est l'étude de tout ce qui fait partie de l'homme, par exemple, les sentiments, la raison, le corps, la foi, ses relations, sa société, son histoire. L'humanisme est un terme utilisé au XIXe siècle pour parler des hommes du XVIe qui enseignaient et croyaient d'une certaine mannière. Ça vient du latin « studia humanitatis » et « humanista », des termes que utilisaient les étudiants pour parler de leurs maîtres ("Birth of Humanist Culture", Nauert, 8). Ce n'était pas une vraie philosophie ; la philosophie à cette époque se concentrait sur les paroles d'Aristote ("Birth", Nauert, 9). Ce n'était pas un grand mouvement qui touchait tout le monde, non plus, et tous les humanistes n'étaient pas d'accord. En générale, ils se plaignaient du style de l'éducation à l'époque : quelques uns voulaient faire des réformes, d'autres ont publiés des commentaires sur les oeuvres classiques ou sur la société actuelle. Ils étaient professeurs, évêques, traducteurs, écrivains, réformateurs ou traditionnalistes. Ils aimaient apprendre, tous. Ils appréciaient le latin et le grecque. Ils enseignaient l'art, la philosophie morale, la grammaire, la litérature, l'histoire, la rhétorique, la poésie. La poésie leur était importante car « le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point » comme Blaise Pascal a écrit plus tard. Les sciences physiques ne pouvaient pas enseigner comment mieux vivre ou comment apprendre à comprendre et communiquer avec les autres comme la rhétorique ou la litérature. D'autres aimaient Dieu et voulait que tout le monde puisse lire ses écritures.



Rabelais est un exemple des humanistes du XVIe siècle. Dans son oeuvre Gargantua, il écrit des différentes styles de l'éducation d'un prince géant en faisant un commentaire sur la Sorbonne, les prêtres catholiques, et son éducation idéale (et humaniste). La Sorbonne n'était pas sérieuse de l'éducation, là-bas ils sont fainéants, ils jouent aux cartes, ils mangent, ils boivent et c'est tout. Les prêtres catholiques se servent de la langue latine pour n'importe quoi mais ils n'ont pas l'amour de sagesse et d'apprendre. Mais à la fin, on éduque le prince Gargantua du style humaniste - en religion, en langues, en histoire, en musique, en équitation et en d'autres sports physiques. Il se sert de chaque heure de la journée, rien n'est ni perdu ni gaspillé.

De plus, Rabelais n'ignore pas le corps humain. Il mentionne chaque aspect de la vie - y compris la digestion, les « excremens naturelz » (Gargantua, Rabelais, 197). Pour lui, le corps n'est pas une chose à diminuer. Le corps n'est pas un piège pour l'esprit, ce n'est pas une chose du mal.



Marguerite de Navarre est une combinaison de l'humanisme dit "séculaire" et l'humanisme "chrétien". Elle était noble, soeur du roi François I, éduquée et très intelligente. Elle a écrit L'Heptaméron, un oeuvre connu pour sa polyphonie ou « la multiplicité des voix » de ses dix personnages narrateurs. Chaque personnage a sa propre personalité, alors quand chaque personnage raconte une histoire c'est filtrée par leur point de vue. Elle, en tant qu'humaniste, comprend l'humanité. C'est une véritable génie. Elle comprend comment les personnes s'entretiennent. Elle est artiste d'hommes et de femmes, et elle utilise ses personnages de montrer la société et de dévoiler ses vices aussi bien que ses qualités.

On dit que chaque personnage représente une vraie personne à la cour. Par exemple, la vieille dame Oisille représente Louise de Savoie. Oisille était un surnom populaire pour Louise à cette époque-là. La fille de Oisille, Parlemente est sa fille en réalité, Marguerite de Navarre, et Hircan le mari de Parlemente est le mari de Marguerite, le roi Henri II. On dit que leurs personalités dans la vie réelle et l'Heptaméron étaient pareilles. Comme cela, elle montre l'humanité telle qu'elle est. Oisille était une sage femme ; Hircan était courageux, brave, et valoreux -- mais aussi misogyne, chauvin, et incontinent. Marguerite de Navarre est calée à nous montrer les deux cotés de l'humanité -- les vertues ou l'hypocrasie des prêtres de l'Eglise, par exemple.

Un autre exemple est sa vingt-septième nouvelle dans L'Heptaméron. C'est Ennasuite qui raconte l'histoire ; cela parle d'une femme mariée qui trompe un homme laid qui veut se coucher avec elle. Elle fait semblant de le vouler, mais dit qu'avant de commettre l'acte, elle doit demander à son mari. A la fin de l'histoire, c'est Simontaut qui dit «Par Dieu, ce n'est pas grand honneur à une honnête femme de refuser un si laid homme que vous peignez ce secrétaire ! Mais s'il eut été beau et honnête, en cela se fut montrée la vertu. » (de Navarre, 273). Avec chaque nouvelle, il y a des morales proposées par les personnages, une discussion sur la culture humaine. C'est un art, une collection de litérature ; l'oeuvre présente des philosophies et nous montrent comment les humains fonctionnent dans la société--pour le bien ou le mal.

Marguerite de Navarre était protectrice des autres humanistes, aussi. Elle a caché, a protégé et a soutenu des hommes de l'Eglise Catholique qui ont traduit des parties de la Bible ou la Bible entière. Elle était une amie de Jacques Lefèvre d'Etaples et d'autres évêques de Meaux, par exemple, (Lovy, 14).

Lefèvre d'Etaples a fait la première édition de la Bible française. Il n'a pas commencé en tant que traducteur des textes religieux, mais comme professeur à l'université. Il a traduit beaucoup de textes classiques et il a préparé et publié des commentaires simples et directs sur les oeuvres grecques pour faciliter la compréhension des textes pour ses étudiants. C'est cela qu'il faut s'en souvenir - il voulait que l'on comprenne, y compris les écritures. Erasme était son instructeur avant lui, alors ce n'était pas surprenant--mais c'était merveilleux-- qu'il voulait et il a traduit la Bible en français. Selon lui et ses prédecesseurs, c'était impossible d'être sauvé si on ne connait pas Dieu, et on ne peut le comprendre que par les écritures. Pour faciliter cette compréhension, tout le monde doit avoir la capacité de les lire. « Et ce, pour corriger les fautes de la chrétienté, lesquelles sont moulte grandes. Si brief on ne se retourne à lui, en délaissant toute autre folle fiance en créature quelconque et toutes autres traditions humaines lesquelles ne peuvent sauver, et en suivant la seule parole de Dieu qui est esprit et vie » (Lefèvre, 29).

Il n'était pas le seul humaniste chrétien qui a traduit la Bible. Castellion voulait rendre disponible la parole de Dieu à tout le monde, aussi. C'était un géni en langues mortes - le Latin, la Grecque, la Hébreu - et un merveilleux traducteur. De plus, il dit dans une de des préfaces - « Ainsi que l'homme êt fait du cors e de l'ame, tellement que le cors ê le logis de l'ame : ainsi les saintes écrittures sont faites de la letre e de l'esperit, tellement que la letre êt comme une boite, gosse, ou coquille de l'esperit. » (Castellion, 121) C'est un homme qui croit que le corps, l'ame, et l'esprit de l'homme sont ensemble et valent quelque chose. C'est un homme qui veut que tout le monde comprenne la parole de Dieu, mais c'est un artiste, aussi, un poète de mots - un traducteur très doué.

Il y en a beaucoup d'autres, mais cela suffit de vous montrer la variété entre tous ces humanistes. Cela suffit, aussi, de vous montrer comment ils sont éduqués, comment ils apprécient l'histoire, l'art, la litérature en toutes ses formes, Dieu et l'humanité - que les deux valent quelque chose et qu'il faut les comprendre.






Les sources (à venir)

Charles Nauert, Jr. "The Birth of Humanist Culture."

mardi 2 décembre 2008

TF1.fr, tv5.org, rfi.fr

TF1 est une chaine de télévision qui est disponible en ligne, un peu comme TV5 mais c'est plutôt pour la "pop culture" au lieu des actualités du monde.

En fait, je l'ai découvert en cherchant un autre site - RFI.fr - qui est un site d'une radio française (ou des podcasts) pour ceux qui sont en train d'apprendre le français. Ils parlent surtout des actualités du monde, donc je l'ai trouvé très utile comme site.

lundi 1 décembre 2008

L'étudiant point FR

L'Etudiant.fr est un très bon site qui parle de tout ce qui concerne les étudiants. On parle du BAC et d'autres examens, des jobs, des stages, des diplômes, des métiers et d'autres possibilités après la vie étudiante. Il y a vraiment tout, quoi.

samedi 22 novembre 2008

Un autre dictionnaire !

Internaute.com a un dico de la langue française qui contient de l'argo, des mots litéraires, anciens, péjoratifs, familiers, et figurés.

lundi 17 novembre 2008

Les amours de Ronsard, XVIe siècle

J'ai pas grand chose à poster, mais !

Comment j'analyse un poème - voilà, un aperçu de mon processus:


AVANT :

Cent & cent fois penser un penser mesme,
A deus beaus yeus montrer à nu son coeur,
se dessoiuer d'une amere liqueur,
s'auiander d'une amertume estréme.
Avoir la face amoureusement bléme,
Plus soupirer, moins flechir la rigueur,
Mourir d'ennui, receler sa langueur,
Du vueil d'autrui des lois faire à soi-mesme.
Un court despit, une aimantine foi,
Aimer trop mieus son ennemi que soi,
Peindre en ses yeus mile vaines figures:
Vouloir parler & n'oser respirer,
Esperer tout & se desesperer,
Sont de ma mort les plus certains augures.

~Les amours de Ronsard, no. 22 (p. 26)


APRES :


Cent & cent fois penser un penser mesme,
A deus beaus yeus montrer à nu son coeur,
se dessoiuer d'une amere liqueur,
s'auiander d'une amertume estréme.
Avoir la face amoureusement bléme,
Plus soupirer, moins flechir la rigueur,
Mourir d'ennui, receler sa langueur,
Du vueil d'autrui des lois faire à soi-mesme.
Un court despit, une aimantine foi,
Aimer trop mieus son ennemi que soi,
Peindre en ses yeus mile vaines figures:
Vouloir parler & n'oser respirer,
Esperer tout & se desesperer,
Sont de ma mort les plus certains augures.

~Les amours de Ronsard, no. 22 (p. 26)

mercredi 12 novembre 2008

Une petite pause.

Il y avait et il y aura une petite pause. Une amie à moi est morte le 25 octobre et puis il y a eu la conférence ATA du 5 à 8 novembre, donc là je me ratrappe un peu dans mes cours....

jeudi 23 octobre 2008

Un site pour les traducteurs/interprètes

Il y a quelques semaines, je suis allée à une petite réunion pour ceux qui ont une majeure dans le département des lettres. Là, il y avait deux hommes qui représentaient deux sociétés de traduction/d'outils de traduction.

Un de ces hommes m'a parlé d'un site pour les traducteurs - ProZ.com

Alors aujourd'hui je me suis inscrit et voilà mon profil. C'est tout nouveau et j'ai l'air complètement nulle, mais bon. :p

vendredi 17 octobre 2008

Le petit robert

Le petit robert est disponible pour ceux qui sont à la fac de BYU.

Oui oui c'est ma dernière année ici et on vient de me le dire - que c'était caché et que l'on l'avait mis sous le libellé de "Le".

lundi 13 octobre 2008

Les tactiques de la bataille de Hastings - 1066

Tout ce que nous savons à propos des tactiques de la bataille de Hastings est que les Normands ont gagné. Quelques grands historiens disent que les Anglo-saxons étaient fortement stupides dans leurs décisions militaires, qu'ils n'ont jamais rencontré d'hommes militaires aux cheval aussi calés que les Normands, et qu'Harold n'a jamais eu de chance quand il a rencontré l'armée Normande et sa tactique militaire supérieure de la feinte. D'autres disent que "la feinte Normande" n'était qu'un retrait militaire normal et que ce n'était pas fait exprès. Ils disent que la cavalerie normande n'était pas importante et qu'elle n'avait pas de place dans la stratégie de la bataille de Hastings et que les archers médiévales étaient inutiles. Aucun historien n'est d'accord ni de la question de combien de bateaux et de personnes ont-ils pris les Normands ni si l'armure des soldats Anglo-saxons était de bonne qualité. Cependant, chaque historien se rend compte des détails correctes et il essaye de négocier les arguments que les autres font ; moi je vais essayer de faire pareille en ce qui concerne les tactiques de la bataille de Hastings.

Guillaume le Conquérant voulait le trône pendant assez longtemps pour former une large armée et pour formuler un plan. Il était un homme ambitieux et agressif, pourtant il était intelligent, malin, et débrouillard, aussi. Il a fait construire à peu près 700 bateaux pour faire traverser près de 8.000 hommes (Bishop,9), et il a trouvé les moyens pour nourrir cette armée pendant sa formation, ce qui est remarquable et une preuve de sa capacité, (Beeler, 11). Cependant, quand il a atterri avec son armée à Pevensey, il était "timide" dans ses actions et il a passé du temps en fortifiant des ruines romaines avant de partir à l'attaque même. Ça nous montre deux idées intéressantes : un, personne n'a attaqué son armée pendant que les Normands faisaient ses fortifications parce que l'armée Anglo-saxonne était toujours dans le nord du pays, et deux, Guillaume le Bâtard qui était si intelligent comme générale n'était pas sûr de sa victoire future et qu'il se méfiait de son ennemi--même un ennemi qui n'était pas encore là et la route à Londres était bien ouverte. Guillaume a passé du temps en Angleterre et Harold et lui se connaissaient. Si Harold était incompétent comme dirigeant militaire, (et, de plus, si l'armée Anglo-saxonne était inférieure), Guillaume ne se serait pas préparé pour un débarquement rapide et incertain vers la Normandie. Pourtant, Guillaume connaissait Harold et ni l'un ni l'autre était incompétent. Au lieu d'aller vite à Londres avec son armée, il n'est pas allé loin de ses fortifications parce qu'il savait que le plus loin qu'il irait le plus faible il serait, (Glover, 3).

Pendant ce temps, Harold et son armée anglo-saxonne venaient de se battre à Stamford Bridge. Quand un messager lui a dit le premier octobre que Guillaume et les Normands étaient venus conquérir l'Angleterre, Harold a dû vite prendre une décision. Il devait faire bouger sa grande armée une distance de 250 miles mais il n'avait pas assez de temps pour l'accomplir. Richard Glover dit, "None but mounted men could possibly have kept up with him ; the archer could rarely afford a horse, and must have been left behind. . . ." et puis, "at London Harold 'expanded the force at his command to the dimensions of an army.' But . . . the new army which Harold sought to scrape together . . . couldonly be raised from a country already stripped of the materials of which armies are made" (11), (ce qui nous explique pour quelle raison il n'y avait pas beaucoup d'action militaire à la part des archers anglo-saxons pendant la bataille de Hastings). Il a dû prendre avec lui les huscarles (Beeler, 3), ce qui étaient une garde spéciale à cheval qui date du roi danois Cnut (Brooks, 8), pourtant quand ils sont arrivés dans le sud et ils ont choisi une colline sur la route à Londres pour leur défense, ils ont désarçonné. Une cavalerie n'est pas utile pour une défense--en exceptant les occasions de contre-attaque, mais il avait besoin d'eux comme infanterie (Glover, 18).

Quant à la bataille elle-même, les actions militaires de la bataille de Hastings desquelles les historiens sont plus ou moins d'accords sont que un, les Anglo-saxons n'ont rien fait pendant que les Normands ont déployé, deux, les Normands ont fait plusieurs essayes contre la colline des Anglo-saxons, et trois, pendant un des ses assauts, le centre du ligne des Normands a fait un retrait, (et, bien sur, les Normands ont gagné à la fin). De plus, les archers normands n'ont pas fait grand chose d'efficace en visant en haut à cause de la hauteur de la colline, et les archers anglo-saxons n'ont pas trop tiré de tout ce qui n'a pas redonné beaucoup de flèches aux archers normands. Les cavaleries des deux côtés n'avaient pas les tactiques des cavaleries dit "matures" des époques plus tards (Glover, 14), et les hommes à cheval avaient tendance de se battre soit à cheval soit à pied mélangés avec l'infanterie.

La question du retrait normand est centrale à tous les arguments des historiens : chacun a sa théorie à propos de ce qui s'est passé. Pourtant, la plupart des historiens récents sont d'accord que la "feinte" des Normands était en réalité un retrait et que Guillaume le Conquérant était assez débrouillard et intelligent pour savoir quoi faire pour améliorer une mauvaise situation. On n'est pas d'accord si c'était un retrait qui s'est passé à cause de la peur de l'infanterie ou si c'était à cause des tactiques naturelles de la cavalerie Normande qui était là au centre. Monsieur Beeler, qui faisait partie d'une cavalerie, explique que la technique d'une cavalerie comme celle sur la Tapisserie de Bayeux aurait eu besoin de "reculer pour mieux sauter", ou en d'autres termes, les hommes à cheval sur la Tapisserie de Bayeux lançaient les javelots qu'ils avaient, ils n'utilisaient pas la technique des chevaliers plus tard avec leurs lances gardées à la main. Donc ils galopaient en avant pour jeter les javelots et puis ils échappaient en reculant et ensuite ils retournaient pour lancer encore une fois, (Glover, 15).

Il y a une autre explication que, en effet, c'était l'infanterie au centre et qu'ils avaient peur de continuer et voulaient s'enfuir des huscarles et de leurs grandes haches danoises (Beeler, 21). Guillaume, voyant ce qui allait arriver à son armée, a pris une garde des hommes à cheval et a flanqué la contre-attaque des Anglo-saxons. Monsieur Beeler dit que les contre-attaques des Anglo-saxons n'aurait pas dû être très organisées, il dit "William's prompt action restored the situation, however, after what logically should have been the principal English counter-stroke. The real question is . . . why there was not a general English advance instead of piecemeal sorties here and there along the line. Could it be that King Harold had ordered such a counterattack, but that for one reason or another it met the fate of Somerset's ill-fated charge at Tewkesbury in 1471?" (Beeler, 22). Si cette contre-attaque avait marché, les Anglo-saxons aurait gagné la bataille et poussé les Normands de l'Angleterre. Cependant, même si Harold a donné les ordres, c'était très difficile de guider une armée qui ne s'étaient jamais entrainé.

En tous cas, le retrait et l'action de Guillaume le Conquérant ont marché, l'armée s'est tourné pour attaquer les Anglo-saxons et ils ont tué Harold et gagné la bataille de Hastings. Voilà ce dont les historiens sont d'accord : les Normands ont gagné la bataille de Hastings.





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Beeler, John. Warfare in England, 1066-1189. Ithaca, New York: Cornell UP, 1966.

Bishop, Morris. "1066." Horizon 8 (1966): 4-27.

Brooks, N.P. "Arms, Status and Warfare in Late-Saxon England." Ethelread the Unready: British Archaeological Reports 59 (1979): 81-103.

Glover, Richard. "English Warfare in 1066." The English Historical Review 67 (1952). JSTOR.

samedi 11 octobre 2008

La Tapisserie de Bayeux - La Bataille de Hastings

La bataille de Hastings 1066

Blaise Pascal

Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point. - Blaise Pascal

vendredi 3 octobre 2008

Le Roi Soleil (comédie musicale)

Voici des clips de la comédie musicale Le Roi Soleil. C'est pour interrompre un peu tous les liens trop utiles que je vous ai fournis. Ces trois clips sont trois chansons avec Emmanuel Moire comme le Roi Soleil et Anne-Laure Girbal comme son premier amour la nièce du cardinal Mazarin, Marie Mancini.

Mmm les chansons d'amour....


Où ça mène quand on s'aime.



Je fais de toi mon essentiel.



S'aimer pour nous est interdit.

jeudi 2 octobre 2008

Un site pour savoir les synonymes

Prof. Hudson nous a donné un lien très utile. Il s'agit d'un site qui est un classement complet des synonymes français. C'est CRISCO - le Centre de Recherche Inter-langues sur la Signification en COntexte.

lundi 29 septembre 2008

D'autres dictionnaires du XVIIe siècle

Si the ARTFL project n'a pas ce que vous cherchez, il faut passer un coup d'oeil au dictionnaire de la langue française ancienne et moderne par Pierre Richolet tome 1 et tome 2 pour informations sur l'usage et les idiomes du vieux françois. Le dico de 1696 d'Antoine Furière n'est pas mal, aussi.